5 participants 25 €/personne pour le transport.
Le Scorff est en petites eaux mais agréable.
Nous enchaînons deux descentes sans problème.
Pique nique à l’endroit habituel à l’abri de la pluie. Nous filons ensuite à loge-coucou où le moyen Ellé est à 130. Navette en vélo électrique expédiée en 17 min. Un arbre un peu gênant dans les deux premiers kilomètres. Nous jouons dans les petits rapides. Une collision occasionne un petit bain. Il y a pas mal d’eau donc beaucoup de rouleaux à surfer.
Nous enchaînons sur les roches du diable qui se passent sans encombres. Nous essayons un nouveau chemin pour remonter : il est pire que le chemin habituel.
Un petit thé et nous repartons sans oublier le vélo.
Belle journée de kayak tranquille.
Colmont le 15 décembre
Nous étions 7, 5+2 à profiter de cette première journée de déconfinement pour aller naviguer sur la Colmont . Malgré quelques retard sur la route, plein, déviations … nous arrivons vers 14h à Brecé pour faire la jonction avec Bernard et Dom. Nous nous changeons en vitesse sous un soleil quasi printanier expédions la navette et nous embarquons sur une Colmont en belles eaux. Le haut niveau fait qu’il faut se pencher fort sous le premier arbre ce qui nous amène à couper du gros lierre pour faciliter le passage. Les rapides s’enchainent ensuite sans problèmes. Entre les deux glissières un arbre bas nous amène à prendre une petite passe dans les branches. La deuxième glissière se passe comme une fleur par ce niveau d’eau. Quelques branches basses dans la forêt pimentent le passage mais le gros chêne a disparu. Pas d’acrobaties au débarquement et c’est une Colmont sans bain ni portage qui nous a réjoui cet aprem.
Sortie sur la Rance dimanche 23 octobre
Nous étions 5 à partir du club pour une sortie open, c’est à dire ouvertes à des non adhérents, en l’occurrence mes ex collègues de travail.
Nous avions rendez vous avec elles et nos frères de la côte à la cale de Mordreuc à 10h30. Mais l’eau, elle, n’était pas au rendez-vous.
Nous décidons de remonter vers la cale du Vigneux pour avoir plus d’eau. C’est vers 11h30 que nous donnons le premier coup de pagaie en direction du sud.
Nous sommes 12 sur l’eau, dont quatre invité.e.s. Après un arrêt sous le château de la roche, nous passons le pont St Hubert où nous voyons un peu de clapot, effet du vent contre courant. Clapot sous le pont St Hubert PSH.JPG (384.42 Kio) Vu 838 fois Nous filons vers la pointe de la chênaie et son beau château dont j’apprends qu’il a reçu la visite de Frédéric Chopin. Nous nous arrêtons un peu avant pour un changement de bateau suite à un problème de cale pied sur le shore line rouge. La pointe de la Chênaie et son chateau Ch.JPG (238.64 Kio) Vu 838 fois Nous arrivons à la Moinerie où nous espérons voir le phoque de service. Pas de chance, une bande de djeunes squatte son ponton, alors, il boude. Après le pique nique nous allons pedibus rendre visite à la fontaine St Lunaire. Son eau miraculeuse soigne la cécité. St Lunaire SL.JPG (421.18 Kio) Vu 838 fois Au moment où nous réembarquons, le phoque montre le bout de son nez à la satisfaction générale.
Nous nous laissons ensuite pousser vers le nord par le courant qui est en avance sur l’horaire prévu. Objectif, le camp viking. Nous y arrivons sans encombre sauf pour quelques uns qui ratent le chenal et en sont quittes pour mettre les mains dans la vase. Une petite incursion dans le camp et nous ressortons car nous avons peur d’y rester coincés au vu du fonctionnement un peu erratique du barrage par rapport aux prévisions. Les bernaches nous accueillent de leurs cacardements au retour. Débarquement après quelques esquimautages de Mathieu à 16h15.
Chargement et dispersion. Retour club pour 1815, nettoyage du matos
Merci à Bernard et à Jean Luc pour nous avoir guidé et au phoque de sa participation.
Sélune mardi 20 octobre
Partis de Tizé vers 8 h 40, Thierry, Elsa, Hubert, Luc, Patrick et moi avons retrouvé Dominique et Bernard au Gué de l’épine une petite heure plus tard rive droite de la Sélune. Photo Thierry H.
Nous avons vu passer un petit mascaret (coefficient de 100).
Puis Bernard a enfermé ses clefs de voiture dans sa voiture, gloups !
Le temps que sa femme vienne lui apporter un double, nous les avons abandonnés avec des vestes prêtées et sommes passés leur déposer leur bateau à Ducey puis nous sommes allés embarquer dans le pré sous le barrage de la Roche qui boit. Nous sommes remontés jusque sous le barrage. Voici la photo du groupe devant le barrage que j’aurais pu faire si je n’avais pas oublié de mettre sa batterie dans mon appareil photo :
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Ensuite nous avons attaqué la descente avec un niveau un peu trop bas, 38 à l’échelle de Saint Aubin de Terregate, limite basse pour ne pas trop frotter. Cependant les 4 kilomètres jusqu’au point d’embarquement habituel se sont bien passés, en frottant un peu mais sans descendre de bateau. Ce parcours doit être encore plus sympa avec quelques centimètres de plus (la Sélune était à 75 après les pluies d’hier).
Après le passage du seuil de Quincampois nous avons retrouvé nos deux maloins qui nous avaient libérés la glissière de Ducey d’un tronc d’arbre.
Ci-dessous la photo de la glissière de Ducey que Thierry aurait pu faire s’il avait pris sa gopro :
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Nous avons piqueu-niqué sur l’herbe et sous un rayon de soleil. Bernard a partagé un bol de teurgoule achetée la veille après le mascaret. Photo : Thierry H.
Nous avons ensuite continué la descente. L’eau a changé de couleur après Ducey, rapport à la floculation. La végétation des berges étaient marquée en beige par les marées hautes à gros coeff’ précédentes. Ci-dessous la photo des berges que Patrick aurait pu prendre s’il avait eu son appareil photo :
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Elsa s’est arrêtée à Pontaubault.
Belle photo du pont de Pontaubault que quelqu’un aurait pu prendre s’il y avait eu un appareil photo dans le groupe :
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Nous avons fini la descente jusqu’au gué de l’épine (24 km environ du barrage de la Roche qui boit, il y a un agréable petit courant surtout au début mais il faut quand même les faire).
Stade d’eaux vives hebdomadaire
En manque d’eaux vives naturelles, nous nous sommes retrouvés en début d’après-midi samedi pour une séance sportive sur le bassin de Cesson-Sévigné.
Alice, notre monitrice,du samedi aprèm’, s’est occupée des débutants (Emmanuel, Annabelle et Martin) et leur a fait découvrir l’eau vive et le bassin.
Un autre nouveau, Matthieu, habitué des lieux puisqu’il a fait deux saisons sur ce stade avant de nous rejoindre nous a fait visité son chez-lui. Il ne lui manque plus qu’un stage d’esquimautage (mardi-mercredi-jeudi à la piscine) pour être tout à fait confortable. Jérôme, Théo, Thierry, Mélanie, Bernard, Louise, Victor, Norbert et moi nous en sommes donnés à coeur joie dans les veines d’eau, seuils et contre-courants. Jean-Pierre, venu du club en kayak de mer nous a fait un p’tit coucou et François, descendu du club en open canoë, a fait une descente slalomée du stade ; quand on vous dit qu’il y en a pour tous les goûts et tous les niveaux !
En fin de séance Mélanie a recruté Louise et Victor pour sa séance avec les Poissons volants et le club de Pont Réan sur le stade d’eaux vives de Lochrist ce dimanche.
Conférence embarquée
Éric Lepage (animateur à Thorigné-Fouillard) et Thierry Hamard (membre du Comité Directeur de notre club) avaient comme tous les ans depuis quelques années parfaitement organisé cette conférence embarquée. Ils avaient fait venir Agnès Schermann, maître de conférence en biologie végétale à l’Université de Rennes 1 (qui mène ses recherches sur l’évolution des systèmes de reproduction chez les végétaux et enseigne la biologie végétale, la biologie évolutive et la biologie de la reproduction en licence et en master) et par ailleurs ancienne ligneuse ; autant dire qu’elle était dans son élément dans un kayak sur la Vilaine pour nous parler de la végétation de la rivière.
Thierry et Patrick étaient allés emprunter 4 canoë au club d’Acigné pour compléter les embarcations du club. Tous les bateaux attendaient les 12 heureux participants au bord de l’eau ; les places étaient parties comme des petits pains ! Louise, Claude, Mélanie, Thierry, François et moi étions là pour aider tout ce petit monde novice à embarquer, naviguer et débarquer. Il faisait frais sous les arbres mais le soleil nous a réchauffés.
Nous sommes remontés tranquillement jusqu’au rapide de Tizé, faisant une halte ici pour en apprendre sur les strobiles d’aulnes glutineux, là sur les baies de fusain (rose à l’extérieur avec une graine orange à l’intérieur),
plus loin sur les plantes aquatiques, le houblon, le frêne, le chêne et bien sûr le peuplier, arbre de prédilection de notre conférencière, qui envisage dans ses prochaines recherches de trouver comment différencier les peupliers noirs des hybrides, en caractérisant ces derniers par la forme de leurs feuilles, à la lumière des recherches actuelles utilisant l’ADN.
Après les deux heures de conférence embarquée, nous avons remonté les bateaux au club avec Bébert et sa remorque, revenus de Servon pour la séance hebdomadaire. Puis nous avons fait la publicité du club, en espérant revoir des pagayeurs, pourquoi pas sur une sortie ponctuelle ; n’hésitez pas à nous contacter !
Saint Briac — Cap Fréhel — Préherel
Nous étions 3 à 9 h 15 à Tizé et par un prompt renfort nous nous vîmes 4 à Pléherel plage.
Nous chargeons le bateau de Dom qui laisse son véhicule pour la navette retour et direction Port Hue en St Briac.
Quand nous embarquons nous avons un bon vent 3 bft dans le nez qui, contre le jusant, lève un petit clapot. Il nous freine et pourrit la glisse.
Nous passons par les haches des hébihens, histoire de se glisser dans les cailloux. Le soleil commence à percer et le vent à tomber quand nous traversons vers St Cast.
Nous pique niquons à la cale qui se trouve à l’ouest du port.
Quand nous repartons, c’est pétole. Fort la Latte se découvre en doublant la pointe de St Cast.
Fort Lalatte
Une splendeur pour HC et BD qui n’ont jamais navigué dans le secteur. Grand mitraillage photo : H, on attend tes clichés.
Nous restons un peu au pied du fort avant de rentrer dans l’anse des sévigné. Nous sommes à PM+ 5, coeff 86, il est trop tard pour rentrer dans la cathédrale désertée par les nicheurs Guillemots et pingouins Torda.
la cathédrale par un temps de curé
La zone entre le cap et la pointe du Jars est étonnamment calme, un temps de curé selon Dom.
Les grottes aussi sont plus praticables à pieds qu’en kayak. Les bleus du cap, il faudra revenir à mi-marée ou en morte-eau.
La remontée jusqu’à la cale de Pléherel nous semble un peu longue avec 15 milles nautiques (28km) dans les bras.
Il reste encore à navetter, Dom me ramène à mon véhicule, à revenir chercher les pioupious restés sur place, à charger, faire la route retour puis nettoyer les bateaux en rentrant. Retour maison 21 h.
Belle sortie avec une super météo. Navette très longue et chronophage. C’est une sortie à refaire en lien avec des marcheu.ses.rs afin d’éviter la navette.
Patrick
Sortie en semaine à Cézembre
Sortie à Cézembre ce mardi 15 septembre. Rdv 9 h 45 au club.
Départ en VW pour la cale du Naye pour jonction avec deux collègues de Kmce. Premier coup de pagaie 11 h 30. Mer d’huile.
Super balade durant laquelle on profite de l’erudition des locaux : Solidor – rocher du Bigneux – villa de Greystone – phare du grand jardin – Harbour – côte sauvage nord de Cézembre
Baignade piquenique et tour de l’ile à pieds.
Lézards et pavots cornus.
Départ vers 14 h 45 ! Direction la Conchée puis belle traversée dans une douce houle, bien poussés par le courant de la marée, cap sur petit Bé pour arriver sur le grand Bé ou l’on fait un tour à pieds pour voir la tombe de chateaubriand qui ne voulait plus entendre que la mer, que le vent… Bande de chardonnerets élégants sur les chardons de l’île ^^
Retour à 17 h 30 à la cale.
Petites gouttes de pluie, cœurs heureux.
Sortie aux sept îles
Nous étions 6 au départ de Rennes : LH, BD, VP, Fl, JC et PC. Jonction avec GD et BC à Ploumanac’h à 10h30. C’est donc à 8 que nous nous élançons vers l’île aux moines. Nous sommes poussés par un gentils vent de SO jusqu’au milieu du parcours. Nous enchainons sous un beau soleil le tour de l’île plate où nous voyons nos premiers phoques. Débarquement à 13h à la caserne.
Nous pique niquons en faisant les lézards sur la rampe d’accès. Qui balade, qui sieste, qui bain avec comme impératif le premier coup de pagaie à 14h. Le vent à tourné NO et forci à 3 bft. Nous voyons nos premiers macareux en longeant l’île de Malban. Nous arrivons sur Rouzic à PM-30 mn soit quasi marée haute ce qui nous permet de passer au ras de l’île et d’éviter les brisants de la côte N. la faune s’est donnée rendez-vous : en plus des fous qui tournoient, il y a des pingouins Torda et des guillemots.
Nous voyons deux nouveaux phoques avant l’arche et continuons lentement notre tour, goûtant chaque instant de ce moment rare. Au Sud de Rouzic, nous trouvons un banc de macareux juvéniles qui s’ébat à l’abri.
Mais il est 15.30 et le ciel est coupé en deux : NO ciel beau et SE ciel noir, il est temps de rentrer. Le vent tombe nous faisant une mer d’huile. La glisse est bonne et nous couvrons le retour en moins d’une heure trente.
Les îles c’est vraiment la plus belle course de Bretagne qui cumule de multiples intérêts : géologique, historique, esthétique et faunistique et sportif (13 milles soit 24 km) même si avec ces conditions il n’y a pas eu trop de stress.
Sortie sur la Rance
Nous étions 10 + 2 individus à se retrouver port du Lyvet en la Vicomté à 10 h pour naviguer sur la Rance maritime. L’eau est au rendez-vous merci au site d’EDF, info corroborée par nos informateurs locaux.
L’eau arrive au pied des carrelets et nous nous engageons dans le canyon en respectant tant bien que mal le chenal.
Nous arrivons assez vite au moulin du Prat, moulin à marée qui témoigne du passé agricole du coin. Nous traversons dans le vent pour remonter jusqu’à la Moinerie où nous trouvons un phoque vautré sur le ponton. Nous respectons la distanciation physique si bien qu’il ne se sent pas menacé et reste à dodeliner de la tête pendant qu’on l’observe. Nous tirons sur Plouer en passant sous le château dont j’ai oublié le nom (merci Bernard de compléter).
Arrivés à Plouer nous traversons la plaine pour aller manger côté Pleudihen. Le vent forcissant, nous renonçons à notre balade dans les herbus de St Magloire et retraversons pour passer sous le pont St Hubert. Nous retraversons une nouvelle fois jusqu’au camp viking où nous faisons une incursion assez courte pour cause de marée descendante : on ne voudrait pas s’y faire piéger.
Nous passons sous le mont Gareau et retraversons dans le vent vers la grève de Morlet et coupant le bord des velliplanchistes qui se régalent par ce vent 5/6 notamment ce qui évoluent de manière impressionnantes sur des foils.
Pause sur la grève de Morlet près de l’oratoire du Chatelet, témoin de la dévotion des Terre neuvas et remontée vers vers le Minihic à l’abri de la pointe de Trégondais. Le dernier kilomètre se fait vent de le nez avec un banc de sable qui piège les derniers avec la descendante.
Dispersion sans BDE, on est sérieux jusqu’au bout.