Nous étions 9 sur l’eau à Pont Réan pour embarquer sur la Vilaine en direction du Boël. Le courant vif nous a poussé rapidement jusqu’au moulin. Moulin du Boël (en cours de restauration)
Nous avons ensuite remonté la Seiche avant de remonter contre le courant jusqu’à notre point de départ. Rien que de très classique. Pique nique là encore très copieux grâce à Claude, Bernard et Bernadette. Retour club avant 18h Le soleil promis a fait faux bond mais personne n’a demandé le remboursement de la sortie.
Nous étions 11 (7 TEV, 4 REN) au départ du club pour aller descendre la Vire. Nous retrouvons à l’arrivée Bernard avec qui nous avons prévu de navetter. Change pour avoir les affaires sèches à l’arrivée, pique nique, navette, il est 12h30 quand nous embarquons à Campeaux. Nous envoyons deux éclaireurs dotés de scies et le troupeau suit. Nous évitons le portage au premier arbre, enchaînons les petits rapides et les glissières dont les entrées ne sont pas toujours évidentes. Au trois quarts du parcours un déversoir prolongé par un drossage occasionne quelques bisous cailloux mais c’est la dernière glissière , à la sortie un peu rétentive, qui sera plus sévère avec deux bains. La fin de la descente est tranquille. Nous sommes contents de débarquer après 14 km effectués en 2h30. Nous profitons d’un goûter pantagruélique avant de nous séparer. C’était sans doute la dernière eau vive de l’année. Mais, heureusement, il reste de l’eau dans la mer et de l’eau calme dans les rivières.
Trois pagayeurs pour un alle-retour Tizé Cesson en passant par notre slalom (2 fiches sur 2 portes maintenant, merci les pêcheurs) en k mer. Papotage de rigueur entre gars (du pagaie-fit masculin quoi…). rencontre d’une escouade de suppers et suppeuses ( des gens qui font du stand-up paddle) en pleine compétition près du stade d’eau vive. Ils pagayent à l’ardéchoise: trois coups à gauche, trois coups à droite et n’ont pas compris le concept du » col de cygne », mais bon, gentils quand même. retour 12 h
8 Teviennes – iens s’étaient donnés RV à 7 h 30 au Club, ce dimanche. Chargement et départ vers Saint Cado et la rivière d’Etel…. Nous arrivons vers 9 h 40 sur le lieu d’embarquement où nous retrouvons Cristelle. Nous embarquons sous une belle luminosité vers 10 h 15…
Nous faisons le tour de l’Ile Saint Cado, passons sous le pont qui relie l’Ile au continent, et entamons un bac pour traverser la rivière et récupérer le courant pour descendre vers Pont Lorois… un peu d’eaux vives au passage de Gravignez et Men Halen, avant de franchir Pont Lorois et Port Niscop…. Nous longeons le Vieux Passage (cale de l’ancien bac avant la construction du pont), avant de nous engager dans la rivière du Sac’h, mais la marée descendante nous oblige à faire demi-tour… Nous croisons un groupe de nageurs accompagnés de kayakistes… La pluie nous rattrape au port d’Etel, et nous descendons jusqu’à la barre d’Etel sous une pluie fine. Débarquement pour aller voir la barre et le mât Fénoûx….
Il est temps de chercher un lieu pour manger… Nous nous abritons du vent dans le cimetière des vieux thoniers en bois, près du Magouër… Pique-nique rapide car il ne fait pas chaud. Nous prenons le temps de déguster le far breton aux pruneaux de Cristelle (Hum, un délice !!!) Puis, nous ré-embarquons avant la renverse sous une météo pluvieuse avec un vent du nord…. Pour nous réchauffer, nous luttons contre le courant en longeant la rive du Magouër… Un long bac nous emmène au pied de Pont-Lorois que nous franchissons à l’étal… Le vent est également tombé…
Débarquement un peu sportif sur la cale très glissante de Saint Cado… Ayant un peu d’avance sur l’horaire prévu, nous décidons d’une visite culturelle de l’Ile de Saint Cado : visite du calvaire, de la chapelle, de la fontaine et tour de l’ile à pied…
Nous laissons Cristelle qui rentre sur Larmor, et retour au Club, pour nous, vers 17 h 30… Rinçage des bateaux et retour « maison » pas trop tard pour le groupe….
N’étant pas dispos toute la journée pour la sortie à Étel, Claude et moi avons effectué une traversée de Rennes ce dimanche matin. RV chez moi à 9 h 30, chargement de ma remorque avec mon Open Canoë et quelques minutes de route pour rejoindre le P2 du stade rennais. Portage sur la petite passerelle qui enjambe le bras droit de la Vilaine et on embarque sans difficulté sur de grosses pierres. En 45 mn nous rejoignons le déversoir de la rue Alphonse Guérin et nous faisons demi-tour sous une pluie fine. À la sortie de l’écluse du cabinet vert nous constatons que le petit ponton flottant mis en place par Voies navigables de Bretagne est toujours là et qu’il permet de shunter l’écluse en période de chômage (prévoir un chariot). Nous retraversons Rennes sous une pluie de plus en plus drue. On tente l’arrêt au Bacchus pour un ballon de blanc mais le bistrot n’ouvre qu’à 11 h 30. Nous pagayons jusqu’au stade et rencontrons quelques pêcheurs flottant sur leurs fauteuils gonflables et rechargeons prestement le matos pour un retour chez moi sur le coup de midi. Matinée bien employée et pas trop fatigante.
Nous étions 8 au départ du club à Thorigné et 2 frères et une sœur de la côte à avoir envie de profiter de ces conditions idéales. Dom, arrivé de bonne heure nous informe que la Guimorais est envahie de coureurs à pied et nous décidons de rallonger la sauce jusqu’à la Varde. Nous nous y retrouvons pour laisser des véhicules pour la navette et allons embarquer à Port Pican après un arrêt de 4 mn 30 pour charger le bateau de Didier. Port Pican
Premier coup de pagaie à PM+ 25 mn. Le jusant s’est établi et le courant nous pousse à la vitesse de 10 km/h dans le chenal de la vieille rivière. Nous commençons à longer le bord à la recherche de rase cailloux intéressants. Le temps est très calme mais il faut se méfier car une houle longue est présente et dévoile des brisants surprenants. Ceux qui le souhaitent trouvent quelques beaux passages qui méritaient le port du casque. Nous passons l’île de l’anse du Guesclin par le Sud, pas si fréquent, avant de nous diriger vers la plage du petit port, un peu abritée de la houle d’Ouest car celle-ci arrive en shore break sur les plages. Le débarquement et surtout le rembarquement pourraient être humides. Pique nique, sieste rapide et nous continuons notre périple. le petit port.JPG (40.5 Kio) Vu 181 fois La mer est encore haute pour surfer dans le Havre, nous allons donc voir les rochers sculptés avant de s’échouer sur la plage de la Varde. Là nous attend un long portage ou roulage, c’est selon. Navette, chargement, retour, déchargement, lavage, le tout pour une dispersion à 18h30 après une belle journée de kayak très coool comme prévu. Un petit regret, que personne parmi les débutants ou les peu amarinés n’aient pu profiter de cette belle journée qui leur était proposée.
Ce We (6-7 novembre) a eu lieu un rassemblement sur le Haut Tarn. C’est donc avec un kayakiste d’Angoulême, ville où j’effectue mon alternance, que nous avons pris la route en direction de Toulouse chez Matthieu vendredi soir. C’est là que nous passerons la soirée et dormirons. Le lendemain nous retrouvons d’autres amis, Elwin, Simon, Pierrick et Clément. Après 3 h 30 de route nous piqueniquons et navettons au plus vite pour ne pas terminer trop tard, la nuit tombant relativement vite dans la vallée. Embarquement au Pont de Montvert à 2 m 20 à Cocurès dans le froid mais sous un grand soleil. Nous arrivons très vite au premier rapide et pas des moindre, le Gouffre des Meules. Après une petite session de repérage, les motivés se lance sans plus attendre et ce n’est pas glorieux… Sur 5 passages, pas un n’a réussi à garder la tête au-dessus de l’eau durant tout le rapide, néanmoins tout le monde s’en sort indemne. Le plus gros morceau passé, nous nous retrouvons tout de suite à la Trompette, le deuxième gros rapide. Après un second repérage, nous nous lançons l’un après l’autre, seul Matthieu se fera retenir dans le rappel du milieu et le força à descendre le toboggan à la nage. Le reste de la descente se passe sans encombre, tout s’enchaîne à vue excepté un ou deux rapides. Nous terminons la descente à la nuit tombée, il était temps d’arriver après 4 h de navigation dans le froid. La soirée se passe dans un gite avec de nombreux kayakistes venus pour ce rassemblement où le repas était organisé. Une nouvelle occasion de croiser et de se faire des connaissances. Après avoir bien mangé, bien bu, il est temps d’aller dans au camping pour passer une bonne nuit bien fraiche.
Matthieu dans le Gouffre des Meules.jpg (1.17 Mio) Vu 59 fois Théo dans le Gouffre des Meules.png (1.81 Mio) Vu 59 fois Le dimanche, le programme est très semblable à la veille. Embarquement au gouffre de l’Oule. Cette fois-ci nous allons beaucoup plus vite, nous connaissons les passes, et enchaînons à vue dans le gouffre des meules où les performances seront bien meilleures en ce jour. Tout le monde passe correctement !!! Pareil pour la trompette sauf Matthieu qui repasse à la nage et casse son bateau. Un rapide qui hantera ses pires cauchemars… Peu de temps après la trompette Pierrick s’ouvre l’arcade et est contraint de remonter jusqu’en haut à Manubert ce qui n’est pas une mince affaire à en voir le dénivelé. La suite de la descente repart de plus belle et cette fois-ci nous ne mettons que 3 h à descendre les rapides de cette magnifique rivière. Nous remontons au camping plier le matériel et après un court repas, nous redescendons vers Toulouse où nous déposerons les toulousains pour repartir à Bordeaux ou je suis en cours à présent. Super WE bien qu’un peu court mais éprouvant !
Nous étions 8 à 6 h 45 à TEV, et 9 à 9 h pour profiter du bon jus dans le Golfe. Réunir les trois conditions nécessaires : un gros coeff, 108 en l’occurrence, une bonne météo et une bonne équipe, n’est pas si fréquent. Le premier coup de pagaie est donné avec une demie heure de retard (PM +4) . Mais c’est pas gênant : il reste de l’eau. Nous passons devant Boedig, entre les Logoden, devant Port Blanc. Le courant est puissant. La plaine liquide qui suit nous semble plus longue. Nous nous regroupons à hauteur de la tour de Berder, histoire de passer les consignes : on frôle l’île de la jument pour faire le stop à Er Lanic. Tout se passe bien et nous nous retrouvons devant le cromlech. Nous reprenons le courant, ça pulse très fort. Le GPS annonce 22,8 km/h à la rupture de pente du mouton. A cette vitesse, on arrive très vite à Locmariaquer. Nous nous laissons pousser jusqu’à Méaban. Arrêt sur la plage, pique nique, sieste. Après une discussion démocratique nous décidons d’embarquer avant les 14h (PM-4) prévues pour aller boire un coup à Port Navalo. Nous rentrons dans le port mais personne ne veut nous servir. Nous en profitons pour comparer le prix du homard breton et de la langouste corse : 12 € contre 19 les 100 g. Nous repartons en bac pour passer au large du mouton et être bien présentés pour le courant de la jument. Ça pousse mais beaucoup moins qu’à l’aller. Nous remontons l’île aux moines en évitant les pêcheurs de bar qui sont déchaînés et font des remontées incessantes pour se replacer sur le spot sans trop regarder autour. Idem à hauteur des logoden. Nous débarquons à 16 h 10 après 19 km en 2 h 10. Chargement, retour, rangement : dispersion à 19 h 15.
Une sortie du Golfe est toujours une belle journée de kayak. On passe en deux heures du terrien, à l’îlien pour finir au marin puis en pleine mer en deux heures en utilisant au maximum les éléments. Une bonne pause à Méaban et on fait le trajet inverse: mer; îles, terre. Le tout pour 16 €, une vraie donnée de bien comme disait ma grand-mère.
La communication a été légère concernant ce voyage mais pour ceux qui n’étaient pas au courant, nous sommes retournés sur notre lieu de pèlerinage, l’Autriche. Nous sommes partis à deux avec Jérôme Dimanche 22/08 au matin en direction de la région du Tyrol. Cette année pas d’escale en Suisse, nous sommes pressés de retrouver le gros débit de l’Oetz, la rivière sur laquelle nous avons passé la semaine. Nous arrivons en aval de la vallée après une longue journée de route sous une météo bien bretonne… Il pleut à torrent, il fait nuit noir et impossible de planter la tente le long de la route. Nous nous réfugions dans un camping où nous passons la soirée.
Le lendemain suite à une nuit épuisante… Nous levons le camp à 13 h pour nous diriger sur la Venter Ache, rivière qui devient l’Oetz suite à sa confluence avec la Gurgle Ache. Nous arrivons à l’embarquement à 15 h et le niveau est déjà quasiment à sa limite haute (100 cm). Cette rivière étant alimentée par un glacier (le Rofen), les jours de chaleurs, le niveau peut doubler en termes de débit en seulement quelques heures puis redescendre la nuit. Au moment d’embarquer, l’échelle de Vent annonce 95 cm. Pris de fatigue, nous trouvons la rivière un peu forte (surtout en Rexy
) mais c’est finalement sans problème que nous terminons la descente. Il reste cependant la navette à faire en stop dans une vallée bien perdue mais grâce à notre grande patience, cela finit par fonctionner. Retour au camping où nous mangerons des pâtes et passerons une bonne nuit !!
Bien reposés ce mardi matin, nous attendons que le niveau monte un peu pour retourner sur la Venter Ache avec un peu moins d’eau cette fois-ci (75 cm). La navigation est beaucoup plus reposante et nous trouvons le temps et des stops pour de prendre des photos. En redescendant la vallée nous optons pour la Haute Oetz à un niveau correct à nouveau (80 cm à l’échelle de Solden). Il y a de belles vagues, de beaux trous et c’est très plaisant. Pour terminer cette journée, nous descendons encore plus bas dans la vallée pour naviguer sur Köfel, un autre parcours de l’Oetz. A nouveau un niveau sympathique (210 cm à l’échelle de Tumpen), qui nous change des 270 cm de l’an dernier. Là aussi nous retrouvons du volume et de quoi s’amuser, tout se passe à vue et nous terminons avec la dernière navette en stop de la journée. Le lendemain nous projetons de nous lancer sur la Middle Oetz qui nous fait de l’œil depuis 3 ans. C’est en effet un gros morceau de la rivière le plus dur navigable en été. Du bon cl V. Pour cela nous effectuons le repérage des rapides dans la soirée et rien que du bord c’est effrayant.
Le rapide de l’arbre sur la Venter.JPG (1.57 Mio) Vu 23 fois Après une bonne nuit à travailler mentalement les lignes à prendre sur cette Middle Oetz, nous embarquons à 15 h où le niveau de la journée est au mini (205 cm). Le premier rapide est une sorte de Chaos avec de gros rochers, la suite enchaine beaucoup jusqu’au second rapide où les mouvements d’eau sont puissants. Vient alors le plus gros rapide sous le second pont. Suite à une nouvelle reconnaissance de celui-ci, nous avons nos lignes en tête et nous engageons. Tout se passe bien, et nous continuons sur la portion finale de la rivière que nous n’imaginions pas aussi grosse que ça du bord. Cette portion est tout de même super à naviguer et ne laisse pas de place à l’erreur. Tout s’enchaîne et naviguer à vue là-dedans est régal !! La section Köfel est juste à suivre et nous en profitons pour la descendre à nouveau tranquillement. Nous avons encore du jus et montons à nouveau sur la haute Oetz. Il est beaucoup plus tard que la dernière fois et le niveau est alors beaucoup plus gros (105 cm), ce qui ne nous déplaira pas. Les vagues sont beaucoup plus grosses et puissantes tout comme les rouleaux dans lesquels il ne faut pas aller. Navette après cette bonne journée, retour au camp et dodo.
Le premier rapide de la middle Oetz.JPG (1.47 Mio) Vu 23 fois Dans la nuit il a fait très froid et la journée ne s’annonce pas chaude non plus. Il y a alors une chance que la section du Wellerbrucke soit navigable. Un gros rapide rarement descendable en été à moins d’avoir un très bon niveau. Il y a alors 198 à l’échelle et nous le trouvons comme chaque année trop gros d’autant plus qu’à deux, nous sommes limités en sécu. Ce n’est pas grave, nous avons tellement adoré la Middle Oetz que nous y retournons ce Jeudi au même niveau d’eau. Cette fois nous connaissons les passes et décidons de prendre notre temps pour prendre des photos. Le programme est alors similaire que la veille puisqu’après cette descente nous poursuivons à nouveau sur Köfel. Après un peu de repos nous n’en avons pas encore eu assez et nous montons alors à la Venter qui a tout de même bien monté (105 cm). Seulement 10 cm de plus la dernière fois mais l’accentuation de la difficulté est remarquable. Sur l’eau c’est beaucoup plus rapide et très intense mais cela reste génial ! Nous en avions presque oublié la lenteur de la navette en stop sur cette portion…
Après toute ces navigations il est temps de se reposer un peu au camping. La matinée est très tranquille nous ne faisons rien… L’après-midi, nous allons sur la basse Oetz où nous trouvons un groupe de kayakiste en train de faire leur navette en vélo. Nous décidons de naviguer avec eux pour simplifier la navette et en attendant que le cycliste revienne, nous allons repérer à nouveau le Wellerbrucke puisqu’il y a un peu moins d’eau (193 cm) mais cela reste trop élevé. Nous descendons la basse Oetz et c’est en effet une journée de repos. A ce niveau cette portion ne présente que très peu d’intérêt. Nous avions l’habitude de la descendre à 250 cm ce qui devient alors beaucoup plus intéressant.
Le fameux Wellerbrücke.JPG (1.4 Mio) Vu 23 fois Ce Samedi après cette journée légèrement inintéressante, nous retournons sur la Middle Oetz afin de retrouver des sensations. Le début se passe bien mais au milieu du parcours Jérôme se retrouve en travers dans un rouleau et se permet une petite brasse mais ressort indemne en laissant son bateau et sa pagaie naviguer seuls. Un peu de repos n’aurait pas été de trop pour certains. Le bateau est retrouvé peu après mais la pagaie s’est fait la malle. Théo poursuit alors la descente seul jusqu’à l’arrivée de Köfel dans l’espoir de retrouver la pagaie mais sans succès. Voilà une journée qui termine bien ce séjour.
Dimanche il ne reste plus qu’à rentrer à la maison. Nous roulons toute la journée et arrivons dans la nuit. Un peu de repos et nous voilà en forme pour reprendre le bouleau.
Malgré cette pagaie perdue nous avons réalisé de belles navigations, mangé très sainement
poussé plus loin les niveaux d’eau et découvert la middle Oetz, quel plaisir !! Vivement la Norvège à présent !!
Voici quelques images supplémentaires pour accompagner ce CR :
Patrick, Thierry, Bernadette, Luc, Didier et moi avons assuré une prestation pour des salariés du Village des Collectivités qui avaient le choix pour cette après-midi de team building entre initiation au golf, street art ou… kayak. Nous avons pique-niqué sur place après avoir sorti les bateaux et pour Patrick débroussaillé l’accès à notre embarcadère. IMGP8065.JPG (304.25 Kio) Pas encore vu Après avoir noté les blazes des 18 motivés pour leur prendre une carte FFCK 1 jour, nous les avons équipés et avons rapidement fait embarqué tout le monde dans trois canoës de randonnée biplace et des kayaks. Conditions de rêve : ciel bleu 30°C. Nous sommes remontés jusqu’au moulin, IMGP8066.JPG (368.58 Kio) Pas encore vu avons redescendu la petite veine d’eau et fait quelques manoeuvres dans les deux portes. IMGP8067.JPG (423.62 Kio) Pas encore vu Deux ou trois personnes ont nagé et appris à vider leur bateau. Puis nous sommes descendu par le bras principal, avons pris à droite vers l’entrée du golf, sommes passés dans les buses, puis nous avons grimpé le talus qui mène à l’étang, réembarqué dessus, traversé dans la longueur, reporté sur le parking et réembarqué sur la Vilaine avant de remonter jusqu’au club (des motivés on vous dit !) pour débarquer à 16 h 30 comme prévu dans le contrat ; qui étaient très contents de leur après-midi.