Rendez-vous était pris avec Patricia et Alain Vallégeas à Pont Farcy pour 6 pagayeurs. On se change, on charge les barques des copains sur la remorque et on monte picniquer au départ. La Vire est à 1m05 et ça court de déversoir en déversoir. A ce niveau on évite les glissières qui sont un peu piégeuses et on s’amuse dans les petites veines. L’arbre qui nous avait forcé à un portage il y a quinze jours se jumpe facilement et c’est avec zéro stress et zéro bain que nous terminons la der de 2021 par un gros goûter sur le coup de 15h. Rentrée pour 17h à Tizé afin de se faire beau pour le réveillon.
Archives de l’auteur : Samuel Coupey
Playboating à Messac-Guipry
Nous étions donc 2 de Thorigné, 1 de Guipry et 1 de Châteaubourg. Et on s’est amusé comme des petits fous dans les vagues du spot, ça tapait de tous les côtés. Bravo à Bernard qui n’a pas démérité dans ce lit de courants et de trous, fallait le faire ! Oui, c’est bien lui qui enfourne tranquille dans la dernière photo !!
Embarquement Nanard est dans le flot !
Sortie au Boël
Nous étions 9 sur l’eau à Pont Réan pour embarquer sur la Vilaine en direction du Boël. Le courant vif nous a poussé rapidement jusqu’au moulin. Moulin du Boël (en cours de restauration)
Nous avons ensuite remonté la Seiche avant de remonter contre le courant jusqu’à notre point de départ. Rien que de très classique. Pique nique là encore très copieux grâce à Claude, Bernard et Bernadette. Retour club avant 18h
Le soleil promis a fait faux bond mais personne n’a demandé le remboursement de la sortie.
Descente de la Vire
Nous étions 11 (7 TEV, 4 REN) au départ du club pour aller descendre la Vire. Nous retrouvons à l’arrivée Bernard avec qui nous avons prévu de navetter.
Change pour avoir les affaires sèches à l’arrivée, pique nique, navette, il est 12h30 quand nous embarquons à Campeaux. Nous envoyons deux éclaireurs dotés de scies et le troupeau suit.
Nous évitons le portage au premier arbre, enchaînons les petits rapides et les glissières dont les entrées ne sont pas toujours évidentes. Au trois quarts du parcours un déversoir prolongé par un drossage occasionne quelques bisous cailloux mais c’est la dernière glissière , à la sortie un peu rétentive, qui sera plus sévère avec deux bains.
La fin de la descente est tranquille. Nous sommes contents de débarquer après 14 km effectués en 2h30.
Nous profitons d’un goûter pantagruélique avant de nous séparer. C’était sans doute la dernière eau vive de l’année. Mais, heureusement, il reste de l’eau dans la mer et de l’eau calme dans les rivières.
Balade à domicile
Trois pagayeurs pour un alle-retour Tizé Cesson en passant par notre slalom (2 fiches sur 2 portes maintenant, merci les pêcheurs) en k mer.
Papotage de rigueur entre gars (du pagaie-fit masculin quoi…).
rencontre d’une escouade de suppers et suppeuses ( des gens qui font du stand-up paddle)
en pleine compétition près du stade d’eau vive. Ils pagayent à l’ardéchoise: trois coups à gauche, trois coups à droite et n’ont pas compris le concept du » col de cygne », mais bon, gentils quand même.
retour 12 h
Rivière d’Étel
Cimetière des vieux thoniers en bois au Magouër
8 Teviennes – iens s’étaient donnés RV à 7 h 30 au Club, ce dimanche. Chargement et départ vers Saint Cado et la rivière d’Etel…. Nous arrivons vers 9 h 40 sur le lieu d’embarquement où nous retrouvons Cristelle. Nous embarquons sous une belle luminosité vers 10 h 15…
Nous faisons le tour de l’Ile Saint Cado, passons sous le pont qui relie l’Ile au continent, et entamons un bac pour traverser la rivière et récupérer le courant pour descendre vers Pont Lorois… un peu d’eaux vives au passage de Gravignez et Men Halen, avant de franchir Pont Lorois et Port Niscop….
Nous longeons le Vieux Passage (cale de l’ancien bac avant la construction du pont), avant de nous engager dans la rivière du Sac’h, mais la marée descendante nous oblige à faire demi-tour… Nous croisons un groupe de nageurs accompagnés de kayakistes… La pluie nous rattrape au port d’Etel, et nous descendons jusqu’à la barre d’Etel sous une pluie fine. Débarquement pour aller voir la barre et le mât Fénoûx….
Il est temps de chercher un lieu pour manger… Nous nous abritons du vent dans le cimetière des vieux thoniers en bois, près du Magouër… Pique-nique rapide car il ne fait pas chaud. Nous prenons le temps de déguster le far breton aux pruneaux de Cristelle (Hum, un délice !!!)
Puis, nous ré-embarquons avant la renverse sous une météo pluvieuse avec un vent du nord…. Pour nous réchauffer, nous luttons contre le courant en longeant la rive du Magouër… Un long bac nous emmène au pied de Pont-Lorois que nous franchissons à l’étal… Le vent est également tombé…
Débarquement un peu sportif sur la cale très glissante de Saint Cado… Ayant un peu d’avance sur l’horaire prévu, nous décidons d’une visite culturelle de l’Ile de Saint Cado : visite du calvaire, de la chapelle, de la fontaine et tour de l’ile à pied…
Nous laissons Cristelle qui rentre sur Larmor, et retour au Club, pour nous, vers 17 h 30… Rinçage des bateaux et retour « maison » pas trop tard pour le groupe….
Traversée de Rennes en canoë
N’étant pas dispos toute la journée pour la sortie à Étel, Claude et moi avons effectué une traversée de Rennes ce dimanche matin.
RV chez moi à 9 h 30, chargement de ma remorque avec mon Open Canoë et quelques minutes de route pour rejoindre le P2 du stade rennais. Portage sur la petite passerelle qui enjambe le bras droit de la Vilaine et on embarque sans difficulté sur de grosses pierres. En 45 mn nous rejoignons le déversoir de la rue Alphonse Guérin et nous faisons demi-tour sous une pluie fine. À la sortie de l’écluse du cabinet vert nous constatons que le petit ponton flottant mis en place par Voies navigables de Bretagne est toujours là et qu’il permet de shunter l’écluse en période de chômage (prévoir un chariot).
Nous retraversons Rennes sous une pluie de plus en plus drue. On tente l’arrêt au Bacchus pour un ballon de blanc mais le bistrot n’ouvre qu’à 11 h 30.
Nous pagayons jusqu’au stade et rencontrons quelques pêcheurs flottant sur leurs fauteuils gonflables et rechargeons prestement le matos pour un retour chez moi sur le coup de midi.
Matinée bien employée et pas trop fatigante.
Port Pican — La Varde
Nous étions 8 au départ du club à Thorigné et 2 frères et une sœur de la côte à avoir envie de profiter de ces conditions idéales. Dom, arrivé de bonne heure nous informe que la Guimorais est envahie de coureurs à pied et nous décidons de rallonger la sauce jusqu’à la Varde. Nous nous y retrouvons pour laisser des véhicules pour la navette et allons embarquer à Port Pican après un arrêt de 4 mn 30 pour charger le bateau de Didier. Port Pican
Premier coup de pagaie à PM+ 25 mn. Le jusant s’est établi et le courant nous pousse à la vitesse de 10 km/h dans le chenal de la vieille rivière.
Nous commençons à longer le bord à la recherche de rase cailloux intéressants. Le temps est très calme mais il faut se méfier car une houle longue est présente et dévoile des brisants surprenants. Ceux qui le souhaitent trouvent quelques beaux passages qui méritaient le port du casque. Nous passons l’île de l’anse du Guesclin par le Sud, pas si fréquent, avant de nous diriger vers la plage du petit port, un peu abritée de la houle d’Ouest car celle-ci arrive en shore break sur les plages. Le débarquement et surtout le rembarquement pourraient être humides.
Pique nique, sieste rapide et nous continuons notre périple. le petit port.JPG (40.5 Kio) Vu 181 fois La mer est encore haute pour surfer dans le Havre, nous allons donc voir les rochers sculptés avant de s’échouer sur la plage de la Varde. Là nous attend un long portage ou roulage, c’est selon. Navette, chargement, retour, déchargement, lavage, le tout pour une dispersion à 18h30 après une belle journée de kayak très coool comme prévu.
Un petit regret, que personne parmi les débutants ou les peu amarinés n’aient pu profiter de cette belle journée qui leur était proposée.
Patrick la varde
Haut Tarn
Ce We (6-7 novembre) a eu lieu un rassemblement sur le Haut Tarn. C’est donc avec un kayakiste d’Angoulême, ville où j’effectue mon alternance, que nous avons pris la route en direction de Toulouse chez Matthieu vendredi soir. C’est là que nous passerons la soirée et dormirons. Le lendemain nous retrouvons d’autres amis, Elwin, Simon, Pierrick et Clément. Après 3 h 30 de route nous piqueniquons et navettons au plus vite pour ne pas terminer trop tard, la nuit tombant relativement vite dans la vallée. Embarquement au Pont de Montvert à 2 m 20 à Cocurès dans le froid mais sous un grand soleil. Nous arrivons très vite au premier rapide et pas des moindre, le Gouffre des Meules. Après une petite session de repérage, les motivés se lance sans plus attendre et ce n’est pas glorieux… Sur 5 passages, pas un n’a réussi à garder la tête au-dessus de l’eau durant tout le rapide, néanmoins tout le monde s’en sort indemne. Le plus gros morceau passé, nous nous retrouvons tout de suite à la Trompette, le deuxième gros rapide. Après un second repérage, nous nous lançons l’un après l’autre, seul Matthieu se fera retenir dans le rappel du milieu et le força à descendre le toboggan à la nage. Le reste de la descente se passe sans encombre, tout s’enchaîne à vue excepté un ou deux rapides. Nous terminons la descente à la nuit tombée, il était temps d’arriver après 4 h de navigation dans le froid. La soirée se passe dans un gite avec de nombreux kayakistes venus pour ce rassemblement où le repas était organisé. Une nouvelle occasion de croiser et de se faire des connaissances. Après avoir bien mangé, bien bu, il est temps d’aller dans au camping pour passer une bonne nuit bien fraiche.
Matthieu dans le Gouffre des Meules.jpg (1.17 Mio) Vu 59 fois Théo dans le Gouffre des Meules.png (1.81 Mio) Vu 59 fois
Le dimanche, le programme est très semblable à la veille. Embarquement au gouffre de l’Oule. Cette fois-ci nous allons beaucoup plus vite, nous connaissons les passes, et enchaînons à vue dans le gouffre des meules où les performances seront bien meilleures en ce jour. Tout le monde passe correctement !!! Pareil pour la trompette sauf Matthieu qui repasse à la nage et casse son bateau. Un rapide qui hantera ses pires cauchemars… Peu de temps après la trompette Pierrick s’ouvre l’arcade et est contraint de remonter jusqu’en haut à Manubert ce qui n’est pas une mince affaire à en voir le dénivelé. La suite de la descente repart de plus belle et cette fois-ci nous ne mettons que 3 h à descendre les rapides de cette magnifique rivière. Nous remontons au camping plier le matériel et après un court repas, nous redescendons vers Toulouse où nous déposerons les toulousains pour repartir à Bordeaux ou je suis en cours à présent. Super WE bien qu’un peu court mais éprouvant !
La planche à laver.jpg (2 Mio) Vu 59 fois
Voici le lien avec toutes nos photos et vidéos : https://photos.app.goo.gl/NS1aLgFjY85WdxiY7
Sortie du Golfe Méaban
Nous étions 8 à 6 h 45 à TEV, et 9 à 9 h pour profiter du bon jus dans le Golfe. Réunir les trois conditions nécessaires : un gros coeff, 108 en l’occurrence, une bonne météo et une bonne équipe, n’est pas si fréquent.
Le premier coup de pagaie est donné avec une demie heure de retard (PM +4) . Mais c’est pas gênant : il reste de l’eau. Nous passons devant Boedig, entre les Logoden, devant Port Blanc. Le courant est puissant. La plaine liquide qui suit nous semble plus longue.
Nous nous regroupons à hauteur de la tour de Berder, histoire de passer les consignes : on frôle l’île de la jument pour faire le stop à Er Lanic.
Tout se passe bien et nous nous retrouvons devant le cromlech. Nous reprenons le courant, ça pulse très fort. Le GPS annonce 22,8 km/h à la rupture de pente du mouton. A cette vitesse, on arrive très vite à Locmariaquer. Nous nous laissons pousser jusqu’à Méaban. Arrêt sur la plage, pique nique, sieste.
Après une discussion démocratique nous décidons d’embarquer avant les 14h (PM-4) prévues pour aller boire un coup à Port Navalo. Nous rentrons dans le port mais personne ne veut nous servir. Nous en profitons pour comparer le prix du homard breton et de la langouste corse : 12 € contre 19 les 100 g.
Nous repartons en bac pour passer au large du mouton et être bien présentés pour le courant de la jument. Ça pousse mais beaucoup moins qu’à l’aller. Nous remontons l’île aux moines en évitant les pêcheurs de bar qui sont déchaînés et font des remontées incessantes pour se replacer sur le spot sans trop regarder autour. Idem à hauteur des logoden. Nous débarquons à 16 h 10 après 19 km en 2 h 10.
Chargement, retour, rangement : dispersion à 19 h 15.
Une sortie du Golfe est toujours une belle journée de kayak. On passe en deux heures du terrien, à l’îlien pour finir au marin puis en pleine mer en deux heures en utilisant au maximum les éléments. Une bonne pause à Méaban et on fait le trajet inverse: mer; îles, terre. Le tout pour 16 €, une vraie donnée de bien comme disait ma grand-mère.